Le groupe de Clermont-Ferrand, réputé pour ses œuvres sociales, a mis en place un «salaire décent» et une généreuse protection sociale pour l’ensemble de ses employés. En France, mais également au-delà des frontières de l’Hexagone.
Tu en as d’autres exemples de grands groupes qui s’engagent à payer un salaire décent ?
On va pas leur donner une médaille non plus. Leur “paternalisme social” c’est pas grand chose au regard des richesses produites par les employé⋅es. Il faut aussi rappeler que les conditions de travail restent pénibles (horaires décalés, cadences pénibles et pressions des chefs), et Michelin a multiplié par trois les dividendes versés aux actionnaires depuis 2009.
Un des trucs qui manquent probablement dans leur assurance universelle, c’est une protection contre les plans de licenciement…
Est-ce que il y a beaucoup d’employé aux smic dans les grands groupes ? (hors sous-traitance ?) je connais pas Michelin, mais j’imagine que les même les ouvriers ont un savoir faire pas négligeable, et que ça coute moins cher des payer mieux que ailleurs, plutôt que de former des gens à cause du “turn over”. Comme on dit “salaire minimum, travail minimum”.
Ça sent plus le "virtue signaling’ que le vrai changement de paradigme
Et le gouvernement pourrait aussi remonter le SMIC.
Tu en as d’autres exemples de grands groupes qui s’engagent à payer un salaire décent ?
On va pas leur donner une médaille non plus. Leur “paternalisme social” c’est pas grand chose au regard des richesses produites par les employé⋅es. Il faut aussi rappeler que les conditions de travail restent pénibles (horaires décalés, cadences pénibles et pressions des chefs), et Michelin a multiplié par trois les dividendes versés aux actionnaires depuis 2009.
Un des trucs qui manquent probablement dans leur assurance universelle, c’est une protection contre les plans de licenciement…
Est-ce que il y a beaucoup d’employé aux smic dans les grands groupes ? (hors sous-traitance ?) je connais pas Michelin, mais j’imagine que les même les ouvriers ont un savoir faire pas négligeable, et que ça coute moins cher des payer mieux que ailleurs, plutôt que de former des gens à cause du “turn over”. Comme on dit “salaire minimum, travail minimum”.
Ça sent plus le "virtue signaling’ que le vrai changement de paradigme