En Nouvelle-Calédonie (que les kanaks appellent la Kanaky) la situation est grave. Face au mouvement de révolte, né d’une énième brutalisation macroniste qui tente de faire passer en force une loi qui va minoriser l’électorat local, et ce, sans consultation de la population kanak, notre gouvernement a fait la seule chose pour laquelle il est […]
comme en métropole finalement, les violeurs sont toujours des proches de la famille malheureusement.
Voilà, avec l’émancipation de la femme en moins.