• inlandempire@jlai.luM
    link
    fedilink
    Français
    arrow-up
    9
    ·
    edit-2
    7 days ago

    Je suis en train de finir Neuromancer, j’ai eu du mal à m’y investir, en fait je crois que la traduction (Diable Vauvert, 2020 https://laurentqueyssi.fr/site/2020/10/12/neuromancien/) est nulle, il faut que je compare avec le texte original mais il y a des erreurs qui ne peuvent pas correspondre à ce qu’a écrit Gibson

    Par exemple il y a un personnage qui s’appelle “Wintermute”, je suspecte que le surnom “Mute” est utilisé dans les dialogues, mais la version française l’appelle “Wintermute” et plus tard “le Muet” on dirait une traduction littérale sans relecture…

    Le traducteur a l’air super fier de lui, donc ça me désole mais c’est déroutant quand c’est mal fait

  • Fromchamp@jlai.lu
    link
    fedilink
    Français
    arrow-up
    7
    ·
    7 days ago

    En manga : Tsugai tome 6, toujours plaisant a lire

    En romans : Thrawn : Alliance Pour un fan de star wars c’est (pour l’instant) une bonne série pour approfondit le personnage de l’amiral Thrawn, j’attaque le troisième et dernier tome cette semaine

  • cnovel@jlai.lu
    link
    fedilink
    Français
    arrow-up
    6
    ·
    7 days ago

    Depuis quelques semaines j’ai recommencé la lecture de Fairy Tail en les empruntant 2 par 2 à la bibliothèque. Ca se lit bien mais c’est quand même léger niveau scénario. Je viens de finir le tome 8, j’avais oublié pas mal de choses mais ça manque d’une trame de fond un peu plus présente.

  • Œil@jlai.lu
    link
    fedilink
    Français
    arrow-up
    5
    ·
    7 days ago

    Je lis actuellement L’écroulement de la Baliverna, un recueil de nouvelles de Dino Buzzati, qui était très doué pour instiller une certaine sensation de malaise… La nouvelle éponyme prend le point de vue d’un homme terrifié après avoir provoqué incidemment l’écroulement d’un vieux bâtiment mal entretenu de logements sociaux. D’autres, comme « Les Souris » (où des souris prennent possession d’une maison familiale) ou « Il était arrivé quelque chose » (où les passagers d’un train réalisent, en regardant par la fenêtre, qu’une situation terrible est en cours dans le pays, mais personne n’ose piper mot) font malheureusement écho à l’actualité.

  • innermeerkat@jlai.lu
    link
    fedilink
    Français
    arrow-up
    5
    ·
    7 days ago

    Après une lecture difficile des bouquins Hyperion que j’ai fini par apprécier sur la fin, j’ai voulu aller sur quelque chose de plus simple: Les fourmis de Werber. Le premier bouquin m’a vite lassé et j’ai pas pu terminer le 2ème.

    Du coup j’ai pris la suite dans ma liste de lecture: Le guide du voyageur intergalactique. J’arrive à la fin du premier bouquin et j’ai toujours un peu de mal mais je m’accroche, on m’en a dit que du bien.

  • ReallyZen@lemmy.ml
    link
    fedilink
    Français
    arrow-up
    5
    ·
    edit-2
    7 days ago

    Dans de la S-F bien grasse, qui fatigue peu les circonvolutions: j’attaque le tome 3 de “Embers of wars” par G L Powell, les pages se tournent gentiment d’elles-même. Ça n’a pas la profondeur de contexte géopolitique de The Expanse mais on a envie de savoir comment ça finit.

    Tiens j’en profite pour signaler que le premier tome de la série “Honor Harrington”, On Basilisk Station, est gratuit pour l’instant (chez kobo). Ça tombe bien car si l’on aime bien son Space Opéra avec des petits soldats dedans, c’est très bien On Basilisk Station ; on a un contexte complexe, un rapport de forces tordu, une situation désespérée - assez bien foutu. Si c’est gratuit c’est bien sûr parce que c’est le tome d’ouverture d’une (longue) série qui, elle, vaut beaucoup, beaucoup moins la peine. Oh ça ne s’effondre pas immédiatement, ça reste haletant un bout, puis ça tourne au ridicule, hélas. En gros, sans spoiler, on passe de Full Metal Jacket (in space) à …Sissy l’impératrice (in spaaaace). Dommage, mais on peut lire le premier, il est très bien et finit sans cliffhanger vers la suite.

  • Skunk@jlai.lu
    link
    fedilink
    Français
    arrow-up
    4
    ·
    edit-2
    7 days ago

    Je viens d’ajouter “La différence invisible” à ma bibliothèque car je trouve cette bd magnifique.

    Écrit par Julie Dachez et dessiné par Mademoiselle Caroline, le livre raconte le quotidien d’une femme diagnostiquée autiste asperger et ses galères dans la vie.

    C’est le dessin simple de Mademoiselle Caroline mais j’adore le code de couleur utilisé, notamment tout les bruits du monde réel qui me rendent fou retranscrit en rouge contre les couleurs réconfortante du cocon et des habitudes (non je ne suis pas asperger juste introverti).

    Bref c’est magnifique et émouvant à lire. Ou à offrir, à des parents par exemple.

  • Groggy@jlai.lu
    link
    fedilink
    Français
    arrow-up
    1
    ·
    5 days ago

    J’ai enfin fini La fille qui rêvait d’un bidon d’essence et d’une allumette de Stieg Larsson. J’ai trouvé qu’il ne se passait rien pendant la première moitié, après ça va crescendo et tout s’enchaîne très vite dans les derniers chapitres, sans épilogue à la fin. Un peu déçu et je ne sais pas si je lirai le 3e volet du même auteur.

    Maintenant je suis sur Le problème à trois corps de Liu Cixin. J’avais vu la première saison de l’adaptation en série TV que j’avais apprécié. Et pour l’instant ça se lit bien et j’ai envie de lire la suite, même si la série est relativement fidèle et que je connais donc l’histoire.

    Par contre j’ai un peu de mal à associer les noms, qui sont d’origine chinoise, avec les différents personnages. C’est souvent le cas quand les noms viennent de langages que je ne suis pas habitué à entendre/lire. Ça vous fait ça aussi ?

  • penguin_rocket@jlai.lu
    link
    fedilink
    Français
    arrow-up
    0
    ·
    5 days ago

    Moi Fadi, le frère volé de Riad Sattouf. C’est une sorte de série “spin-off” de L’arabe du futur, qui se focalise sur le point de vue de Fadi, le petit frère de Riad.

    <spoilers sur la série>

    En fait, au bout d’un moment dans L’arabe du futur, le père (Abdel-Razak) revient en France puis essaie de convaincre ses enfants et sa femme de retourner vivre en Syrie dans son village natal. Il n’arrive à convaincre personne, donc il enlève Fadi, son dernier fils, âgé d’à peine 6 ans (si ma mémoire est bonne).

    De manière générale, j’ai apprécié, ça enrichit l’histoire d’avoir le point de vue de Fadi.