Eh bien, cette phrase, ou plus exactement “il faut imaginer Sisyphe heureux”, conclut Le Mythe de Sisyphe, de Camus. Elle n’est pas marquante que pour ça, elle contient l’essence de l’essai qu’elle résume assez génialement je trouve : accepter l’insignifiance de notre existence comme une première étape libératrice.
Eh bien, cette phrase, ou plus exactement “il faut imaginer Sisyphe heureux”, conclut Le Mythe de Sisyphe, de Camus. Elle n’est pas marquante que pour ça, elle contient l’essence de l’essai qu’elle résume assez génialement je trouve : accepter l’insignifiance de notre existence comme une première étape libératrice.
(Désolé de répondre aussi tard…)
Pas besoin de t’excuser, et merci pour la ref.