Je répond à un commentaire qui essaye d’expliquer que “tous les hommes” ne signifie pas “l’intégralité des hommes”, et s’en sert pour justifier que tous les hommes sont des violeurs.
Le commentaire que tu me cite explique que lorsqu’on parle de “tous les hommes” on parle bien de l’intégralité d’entre eux, et précise bien que cela ne signifie pas “tous violeurs”. Ce qui va, tout comme moi, à l’encontre du premier commentaire.
Ensuite tu me donne une image dont la première bulle dit “L’écrasante majorité des violeurs sont des hommes”, ce qui est exactement la tournure de phrase que je suggère d’utiliser dans mon premier commentaire au travers de mon allégorie. Encore une fois, je ne sais pas pourquoi tu as décidé que je devais absolument avoir une opinion contraire à la tienne…
Je ne sais d’ailleurs pas trop ce que ce récapitulatif du fil vient faire là, suis-je sensé m’y reconnaitre? Ou s’agit it d’une simple touche d’humour placée là sans raison? Je suis confus.
Tu m’attribue des opinions qui ne sont pas les miennes, que ce soit en utilisant des réponses à côté de mes propos ou en spéculant sur ma personne via mon historique de commentaire. Il est difficile de ne pas y voir quelque chose un tant soit peu personel…
À Paris, il n’y a pas beaucoup d’intersections où le feu doit être respecté par les cyclistes non plus. La plupart des feux ont des petits panneaux jaunes qui autorisent les cyclistes à “griller le feu”. Pour ce qui est de traverser un boulevard, ce que tu dis ne s’applique vraiment que pour un traffic fluide, ce qui est rarement le cas à Paris. Dans les faits, il est souvent plus simple de se faufiller parmis les voitures pendant que le traffic se démelle.