Au final, je reste un être simple qui aime imaginer Sisyphe heureux.
Là, pour le coup, je dirais que tu nous invite à sortir d’un bavardage sur Lemmy. C’est un regard porté sur Sisyphe que je trouve très intéressant. Et avec lequel je serais peut-être d’accord? Qui sait? :)
Eh bien, cette phrase, ou plus exactement “il faut imaginer Sisyphe heureux”, conclut Le Mythe de Sisyphe, de Camus. Elle n’est pas marquante que pour ça, elle contient l’essence de l’essai qu’elle résume assez génialement je trouve : accepter l’insignifiance de notre existence comme une première étape libératrice.
Là, pour le coup, je dirais que tu nous invite à sortir d’un bavardage sur Lemmy. C’est un regard porté sur Sisyphe que je trouve très intéressant. Et avec lequel je serais peut-être d’accord? Qui sait? :)
Eh bien, cette phrase, ou plus exactement “il faut imaginer Sisyphe heureux”, conclut Le Mythe de Sisyphe, de Camus. Elle n’est pas marquante que pour ça, elle contient l’essence de l’essai qu’elle résume assez génialement je trouve : accepter l’insignifiance de notre existence comme une première étape libératrice.
(Désolé de répondre aussi tard…)
Pas besoin de t’excuser, et merci pour la ref.