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  • Je pense que l’idée de non modération se défend, les élus sont responsables de leur paroles et écrits devant la loi, poufuqoi rajouté un conseil réseaux sociaux supplémentaires ?

    Le processus judiciaire est lent, suffisamment lent pour ce soit possible d’ordonner le blocage de contenu et bloquer des noms de domaine sans passer par un juge.

    Avec une justice aussi lente, le risque c’est que comme pour la diffamation, la condamnation soit sans effet parce que la décision intervient très longtemps après la diffusion du message qui aura déjà circulé avec un sentiment d’impunité.

    Et en plus il y a des obligations de modération pour les contenus illégaux (notamment dans l’heure pour le contenu terroriste), donc soit il faudrait des décisions de justice ultra express (ce qui est impossible) soit il faudrait qu’aucun élu ne publie quelque chose d’illégal (incertain) pour que les obligations soit respectées.


    Pour les mails c’est différent, c’est assimilé aux correspondances, donc on a normalement pas le droit de les lire donc pas le droit des les modérer. Et ce n’est pas public contrairement à un réseau social, il y a un nombre déterminé de personnes qui vont lire le mail normalement.



  • Elle héberge uniquement des comptes institutionnels et certifiés.

    Qui ne posent pas de problème de conservation de compte et de modération.

    C’est donc déjà possible

    Oui au niveau technique c’est possible, je n’ai jamais dit le contraire, je sais très bien qu’on peut mettre en place une instance mastodon très facilement.

    On garde quand même le problème de modération et de conservation du compte, qui restent des points important à régler avant de proposer sérieusement l’idée.

    Une association d’élus pourraient sans que rien ne passe par la loi héberger sa propre instance mastodon et proposer à ses adhérents des comptes, tout en laissant l’élu libre de choisir son instance.




























  • C’est pas les chiffres de l’INSEE mais il y a ça

    959 homicides en 2022 881 en 2021 816 en 2020 853 en 2019 821 en 2018 823 en 2017 821 en 2016

    Et entre 10 et 70 ans, c’est majoritairement des hommes qui sont victimes d’homicides alors qu’entre 0 et 9 ans, il y a 46% de femmes. Et au-delà de 80 ans il y a une majorité de femme, probablement à cause de l’espérance de vie.

    Globalement, que l’homicide soit tenté ou abouti, les victimes sont majoritairement des hommes, près de 70 % pour les homicides et de 80 % pour les tentatives. Ces parts atteignent respectivement 81 % et 86 % en dehors du cadre familial. C’est l’inverse au sein de la famille, où plus de 60 % des victimes sont des femmes, 66 % pour les homicides et 62 % pour les tentatives d’homicide. Ces parts sont encore plus élevées si l’on se restreint au cadre conjugal, atteignant respectivement 82 % et 73 %.

    De 2016 à 2022, environ 1 100 personnes en moyenne ont été mises en cause par an pour un homicide ayant abouti au décès de la victime et 2 500 pour une tentative d’homicide (voir figure complémentaire). Ce sont très majoritairement des hommes, 86 % en cas d’homicide abouti et 91 % en cas de tentative. Les femmes sont cependant un peu plus nombreuses quand l’auteur a un lien familial avec sa victime.