Ça fait mal au coeur :(
Outre Dragon Ball, une référence dans le monde manga, n’oublions pas Dr Slump, qui est une pépite de drôlerie absurde.
Ça fait mal au coeur :(
Outre Dragon Ball, une référence dans le monde manga, n’oublions pas Dr Slump, qui est une pépite de drôlerie absurde.
Ça fonctionne également très bien, en effet :)
Merci pour cette initiative.
“je me reconnais dans ce meme et je n’aime pas ça.” :)
Ah, on parle enfin de chez moi. Voyons-voir, quelle est l’actualité en question ?
Ah, ok, les pulls moches. Bon, ben, c’est mieux que rien.
Le petit lapin allemand est adorable :)
Perso, en folklore européen, Français en l’occurence, j’aime bien la Tarrasque.
Il y a une dizaine d’années, j’ai lancé une initiative similaire à mon échelle. Avec l’aide de mon père, qui occupe sa retraite à modérer les inscriptions, on fait vivre ce site : https://locavores.fr
L’interface graphique est vieillote (j’ai depuis été happé par d’autres projets et je n’ai pas eu le temps de la remettre au goût du jour) mais les données sont là et sont intéressantes.
Je ne sais pas comment ils vont trouver un juste milieu entre le droit d’innover (et faire une UX qui plaît) et le risque de tomber dans l’addiction.
Au fond, ce concept d’ “addiction”, il est super intéressant sur les réseaux sociaux. Quand on parle d’addiction à l’alcool, la drogue… on pense à des stimuli chimiques qui vont pousser notre cerveau à en vouloir plus, au détriment du reste. L’objet même, par ses caractéristiques physiques, modifie notre comportement.
Ici, on est sur un changement de comportement de notre cerveau (qui joue sur le FOMO, l’excitation permanente…) qui est induit par un choix humain (les personnes en charge de réseaux sociaux qui décident de rendre leur plateforme addictive en y introduisant des éléments qui poussent à en voir plus).
Mis à plat comme ça, avec le terme d’ « addiction » dans l’équation, on comprend mieux que certains considèrent que ces plateforme-là se servent de leurs visiteurs et… avec leur consentement. Un peu comme un fumeur qui souhaitera continuer à fumer même s’il n’est plus exposé à de la pub, ou, dans un registre plus imaginé, la population dans Matrix (le film, pas le service de messagerie :) ), qui a sa dose d’endorphine et qui n’a besoin de rien d’autre.
T’abuses…
Par contre, toilettage canin, ça se tentait :)
En avril dernier, j’avais été démarché par mail par la CCI pour signer le manifeste des chefs d’entreprises en faveur de l’A69 (340 signatures annoncées à l’époque).
S’ils ont prévu de l’opt-out pour associer un nom à ce manifeste-là, ça décrédibilise toute leur initiative.
À partir du moment où la lecture reste autorisée et que le 403 n’arrive qu’en téléchargement, ça sent fort le coup du copyright, du tout moins, la tentative d’évitement d’abus (en récupérant des chaînes entières, …)
Sur une machine publique, ça ne me choque pas plus que ça.
Zelda
Assez récemment, et assez classique, « Zelda, Tears of the Kingdom », avec un boss de fin de jeu à 1h du mat’ et une coupure de courant en plein milieu. Heureusement que la switch a vu ça comme un retrait de la base et s’est mise en veille. Et donc, peu de temps après la fin de l’histoire avec moi en larmes :)
Umineko no naku koro ni
Là, visual novel fantastique. Un poil long, mais une fois qu’on est entré dans l’histoire, ce n’est pas un gros souci. L’histoire est captivante, on s’attache aux personnages, aux enquêtes que l’on résout sur cette île, huis clos aux apparences trompeuses.
Ever17
Cet autre visual novel est peut-être le jeu qui m’a le plus marqué à ce jour. Un huis clos encore, mais dans une base sous-marine dans un futur proche. C’est le concepteur de la série « zero escape» qui s’est chargé de l’histoire et on essaye de survivre après un grave accident. Mais l’histoire, aux multiples rebondissements, m’a laissé sur le cul. Je le conseille à tous ceux que le genre ne rebute pas. Ça a été parmi les meilleures 20-30h de ma vie vidéoludique.