Pour ouvrir le bal, et sans spoiler, je donne 3 jeux

the space between us unGN par webcam que j’ ai fait jouer pendant le confinement, sans spoiler, à la fin ç, une joueuse en larmes, d’autres qui tentait de cacher les ninja qui coupaient des oignons, et bien 2hde cool down pour débrieffer et éponger un peu ce bleed. Faut que je la rejoue

Shadow Island une superbe murder party d’horreur, avec un démarrage tout doit avant de vraiment rentrer dans le lovecratien. Si elle se joue par chez-vous, foncez

Alice is missing, ce jeu de rôle par SMS avec une bande son que j’ai du mal à ré écouter sans avoir envie de pleurer. On enquête sur la disparition d’une ado, donc thème pas anodin, mais magnifique.

Outer Wilds dans son ensemble, la chance de découvrir le jeu, le trauma existentiel, la peur de l’inconnu, la fascination de la découverte puis la joie d’apprendre la sortie du dlc, la perfection en termes d’art interactif pour moi. Il y a un passage qu’aucun autre média m’a fait ressentir, c’est genre 10 émotions différentes en l’espace de 5 minutes quand on découvre le lieu du dlc, qu’on le cherche, on y arrive, on explore, on active un truc et on découvre la zone, j’essaie de pas spoil mais c’était intense ;

Disco Elysium et le sentiment d’avoir de l’or narratif entre les mains, il a touché ma corde sensible comme aucun autre jeu, le sentiment doux-amer à la fin de l’aventure, je ne connais pas la culture d’Europe de l’est ex URSS mais ce jeu m’en a donné un aperçu unique ;

Death Stranding et la terreur absolue lors de la première rencontre avec les BT, le sentiment d’accomplissement quand on maîtrise les outils, connait le terrain… la progression est parfaitement organisée, les gens trouvent le scénar un peu bateau et inaccessible mais quand on s’intéresse aux individus, l’histoire de Mama m’a particulièrement touché et j’en ai versé une larme ;

Destiny 2 et l’excitation de découvrir le monde et la campagne au début, puis la libération deux ans plus tard quand je me suis enfin demandé pourquoi j’y jouais si j’en étais réduit à faire des checklists pour les quêtes journalières, pour jouer à un jeu qui ne respecte pas ton temps, et dont les devs suppriment du contenu pour lequel tu as payé, pour te le revendre ensuite, je suis encore salé et plus jamais je ne toucherai à quoique ce soit de Bungie ;

La concentration immense pour battre le niveau avec un ascenseur dans Katana Zéro, avec Meatgrinder de Ludowic en boucle, j’y ai passé bien la soirée pour faire un perfect à 3h du mat ;

Les centaines d’heures passées sur WoW avec des potes. On faisait tout et n’importe quoi, surtout n’importe quoi, sur serveur privé parce qu’on n’avait pas un rond (Eternity-Paradize pour ceux à qui ça parle)

Vraiment des super souvenirs

Zelda

Assez récemment, et assez classique, « Zelda, Tears of the Kingdom », avec un boss de fin de jeu à 1h du mat’ et une coupure de courant en plein milieu. Heureusement que la switch a vu ça comme un retrait de la base et s’est mise en veille. Et donc, peu de temps après la fin de l’histoire avec moi en larmes :)

Umineko no naku koro ni

Là, visual novel fantastique. Un poil long, mais une fois qu’on est entré dans l’histoire, ce n’est pas un gros souci. L’histoire est captivante, on s’attache aux personnages, aux enquêtes que l’on résout sur cette île, huis clos aux apparences trompeuses.

Ever17

Cet autre visual novel est peut-être le jeu qui m’a le plus marqué à ce jour. Un huis clos encore, mais dans une base sous-marine dans un futur proche. C’est le concepteur de la série « zero escape» qui s’est chargé de l’histoire et on essaye de survivre après un grave accident. Mais l’histoire, aux multiples rebondissements, m’a laissé sur le cul. Je le conseille à tous ceux que le genre ne rebute pas. Ça a été parmi les meilleures 20-30h de ma vie vidéoludique.

deleted by creator

Enfant c’était les jeux point and click Lucas Arts sur PC, Monkey Island, Day of the Tantacle et les Indiana Jones.

Ces dernières années ont retrouve les habituels Outer Wilds et Tunic.

Pour le côté souvenir de raid à 4h du mat c’est Freelancer et Lineage II sur serveurs privés, mais je pense que c’est plus lié au souvenir des copains en multiplayer qu’aux jeux en eux même.

Mon jeu préféré est Nexus The Jupiter Incident, mais difficile de dire pourquoi. Je l’aime d’amour ce jeu.

Et cocorico 🇫🇷, j’aime la French touch et donc Stray ma beaucoup marqué, principalement pour sa DA.

Mais pas autant que la série A Plague Tales…

A Plague Tales Requiem (le dernier) m’a détruit pendant longtemps. Il m’a fallut peut-être trois mois pour oublier les personnages, ne plus être triste en y repensant et écouter autre chose que sa BO. J’ai même acheté le pendentif porté par Amicia… C’est clairement le jeu qui m’a le plus marqué ces cinq à dix dernières années et en parler me rend nostalgique.

To the moon

L’histoire du vieil homme qui tombe amoureux d’une femme qui fait des origami…sans comprendre le sens de ces origami. Avec la musique très belle…bref très triste.

Skyrim

J’ai trouvé le jeu chiant. On ressentait pas la guerre, ni les bataille. Mais ya 3 scènes qui m’ont marqué et émerveillé. La grotte avec les Dwemers. On plonge lans le coeur d’une civilisation perdue, elle est présente et absente. Et tu es dans un décors luminescant avec une ambiance pesante. Le draeric de la folie. Un peu comme alice au pays des merveilles. Très sympa comme quète. Et enfin le labyrinthe de Sallidor.

Alice Madness Return

Un très bon mélange de folie, glauque. La réalité est brutale et le jeu manie à merveille le passage des 2 mondes.

Franchement le décors est très beau et ce qui m’a le plus marqué est la musique Doll’s house

C’est intéressant, car presque toutes les réponses tourne autour du jue vidéo, il y a que moi qui fait du JDR et du GN tendance immersif?